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Finance project, réduction du déficit, hasse des impôts… Ces dossiers brûlants qui steward Antoine Armand and Laurent Saint-Martin à Bercy

Antoine Armand and Laurent Saint-Martin are the nominees of the respective Ministers of Economy and Industry and of the Ministers of Budget and Public Finance, themselves appointed by the Barnier government.

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Le ministère de l'Economie et des Finances, August 27, 2023 (STEPHANE GEUFROI / MAXPPP)

The young deputies’ duo in Bercy: Antoine Armand, 33, the deviating Minister of Economy and Industry, and Laurent Saint-Martin Minister of Budget and Society of Comptes. The announcement of the Barnier government of September 21. Ils succeeded Bruno Le Maire and Thomas Cazenave et se retrouvent face to face with a budget équation très difficult.

Presentation of the draft of the Loi de Financia

Mission premiere: pouvoir présenter le projet de loi de finance à l’Assemblée Nationale, au debut du mois prochain. Au vu du calendrier très serré, ce projet de loi devrait, sauf surprise, fortement s’inspirer des preconisations du gouvernement Attal et des Documents Préparatoires transmis cette semaine par Matignon à certain parliamentarians. Autour d’un objectif clé: ne pas dépenser plus en 2025 qu’en 2024. Soit un montant total de 492 billion euros for various ministères. Ce quisignifie en réalité l’équivalent d’une baisse d’une dizaine de milliards d’euros compte tenu de l’inflation participant – un peu en dessous de 2% l’an prochain.

Hausses d’impôts et taxation des superprofits

Mais cet effort relatif, supposant déjà des mesures sans doute impopulaires, comme par exemle un centrumge de Ma Prime Rénov’ ou du bonus sur l’achat d’un véhicule électrique, semble loin de suffire à atteindre le cap théorique d’un déficit de 4.1% du PIB. D’autant que celi de cette année, 5.1%, ne paraît pas en mesure d’être tenu malgré le gel de 15 billion euros de credits déjà annoncé par Bruno Le Maire, ces derniers mois. Therefore, le dérapage continu de certaines dépenses (les collectivités locales sont particulièrement montrées du doigt) et de recettes inférieures aux prévisions (notamment celles de l’impôt sur les sociétés).

Cela means-t-il qu’il faudra faire des économies supplémentaires en 2025 et aussi envisager des hausses d’impôts? Pas de hausses d’impôts pour les classes moyennes, en tout cas, ensure l’entourage de Michel Barnier. Ce qui peut implicitement ouvrir la porte, en revanche, à des mesures about les plus hauts revenus – enter taxe sur les “superprofites” or “super dividends” wersés aux actionnaires par les plus grands groupes. Sans compter d’autres pistes dessinées par les Services de Bercy et quasiment prêtes à l’emploi, comme une taxe sur les rachats d’actions que praticent surees entreprises.

Ramener le deficit sous les 3%

Mais le plus douloureux s’avérera sans doute de devoir tailler dans les dépenses, davantage que ce qu’envisagent les documents provisoires rédigés par le précédent gouvernement. Et de l’assumer… Assumer aussi le possible report, après 2027, de l’objectif de ramener le déficit sous les 3% malgré les commitment en ce sens pris vis-à-vis de la Commission européenne et malgré les risques éventuels de dégradation future de la note française par les agencies de notation.